[…] Et ce ne sont partout, sous sa robe qui pouffe, Que cheveux d'or, que lys et que roses en touffe. La voilà présentée, et, mon bras sous le sien, Nous allons tous les deux, pareils au groupe ancien D'une jeune bacchante agaçant un satyre, […]
[…] Il voit dans le verger qu'il eut en patrimoine Tourbillonner en choeur les cauchemars d'Antoine ; Le voilà frémissant et rouge comme un coq ; Il rêve, il doute, il songe, et tout son Paul de Kock Lui revient en mémoire, et, pendant trois semaines, […]
[…] Et vous, pour qui naîtra la saison des pervenches, Rendez à ces zéphyrs que voilà revenus, Les légers mantelets avec les robes blanches, Et dans un mois d'ici vous sortirez bras nus ! […]
[…] Et curieux de voir un bout de paysage. Ils plantent en cerceaux des manches à balais, Et se disent : « Voilà des arbres, touchez-les ! » Sur le bord d'un trottoir ils vident leur cuvette En s'écriant : « La mer ! je vois une corvette ! » […]
[…] Mais que l'Emeute aussi passe devant sa porte, Soudain l'instinct du mal le saisit et l'emporte, Le voilà grossissant les bandes de vauriens, Molestant le repos des tremblants citoyens, Et hurlant, et le front barbouillé de poussière, […]
[…] Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets ! Et cependant voilà des siècles innombrables Que vous vous combattez sans pitié ni remord, Tellement vous aimez le carnage et la mort, […]
[…] Entre-bâillant sa robe aux brises passagères ; Mais voilà qu'en rasant la côte d'assez près Pour troubler les oiseaux avec nos voiles blanches, Nous vîmes que c'était un gibet à trois branches, […]
[…] livre. Mon livre, le voilà tel que je l'ai fait et tel qu'on doit le lire, avant que les commentateurs ne l'obscur- cissent de leurs éclaircissements. […]