[…] Pourtant tu sais, ô coeur épris de blond mystère, Qu'au pays triomphal des treilles et des vins Veille le dur regret de la forêt austère : Tu pleurerais de honte en leurs sentiers divins. […]
[…] L'été brûlant a ses grasses moissons, Le riche automne a ses treilles encloses, L'hiver frileux son manteau de glaçons, Mais le printemps a l'amour et les roses. […]
[…] L'enfant part sans rien dire et se cambre en arrière, Pendant que le canard, discordant prisonnier, Crie et passe un bec jaune aux treilles du panier.