Trouvez des poèmes qui contiennent rougis - Page 1

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Jeune fille, ton coeur avec nous veut se taire

[…]
Quel jeune homme aux yeux bleus, empressé sans audace,
Aux cheveux noirs, au front plein de charme et de grâce.
Tu rougis ? On dirait que je t'ai dit son nom.
Je le connais pourtant. Autour de ta maison
C'est lui qui va, qui vient ; et, laissant ton ouvrage,
[…]

Plainte poétique

[…]
Qu'on flatte en apparence et qu'on berne en effet.
Je rougis de pâlir si longtemps sur un livre ;
De me tuer toujours pour vouloir toujours vivre,
D'affliger mon esprit pour divertir autrui ;
[…]

A l'amour

[…]
La flamme de ses yeux a passé devant moi ;
Je rougis d'oublier qu'enfin tout nous sépare ;
Mais je n'en rougis que pour toi.
Que mes froids sentiments s'expriment avec peine !
[…]

Flatter un créditeur, pour son terme allonger

[…]
Vivre avecques chacun, de chacun faire compte :
Voilà, mon cher Morel (dont je rougis de honte),
Tout le bien qu'en trois ans à Rome j'ai appris.

Tu dis que Du Bellay tient réputation

[…]
Jusqu'ici je ne sais que c'est d'ambition,
Et pour ne me voir grand ne rougis point de honte :
Aussi ma qualité ne baisse ni ne monte,
Car je ne suis sujet qu'à ma complexion.
[…]


Il pleut, il pleut, bergère

[…]
Laisse-moi sur ta bouche
Prendre un baiser d'amour.
Ne rougis pas, bergère :
Ma mère et moi, demain,
Nous irons chez ton père
[…]

Laissez. - Tous ces enfants sont bien là

[…]
Au sortir de leurs jeunes rondes ?
Croyez-vous que j'ai peur quand je vois au milieu
De mes rêves rougis ou de sang ou de feu
Passer toutes ces têtes blondes ?
[…]

La gloire

[…]
Et tu verses des pleurs !
Rougis plutôt, rougis d'envier au vulgaire
Le stérile repos dont son coeur est jaloux
Les dieux ont fait pour lui tous les biens de la terre,
[…]

Le temple

[…]
Et je ne tremble pas que ta majesté sainte
Ne venge le respect qu'on doit à son séjour !
Non : je ne rougis plus du feu qui me consume :
L'amour est innocent quand la vertu l'allume.
Aussi pur que l'objet à qui je l'ai juré,
[…]

Poésies I

[…]
celles de Cromwell, de Mlle de Maupin et de Dumas fils, les caducités,
les impuissances, les blasphèmes, les asphyxies, les étouffements, les
rages - devant ces charniers immondes, que je rougis de nommer, il est
temps de réagir enfin contre ce qui nous choque et nous courbe si
souverainement. [...]
[…]