Trouvez des poèmes qui contiennent murmure - Page 1

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Je sens bannir ma peur et le mal que j'endure

[…]
Encourtinent la fleur qui mon chevet azure !
Oyant virer au fil d'un musicien murmure
Milles nymphes d'argent, qui de leurs flots secrets
Bebrouillent en riant les perles dans les prés,
[…]

Soubs la tremblante courtine

Soubs la tremblante courtine
De ces bessons arbrisseaux,
Au murmure qui chemine
Dans ces gazouillans ruisseaux,
Sur un chevet touffu esmaillé des couleurs
[…]

Psaume V

Prete l'oreille à ma complainte, Seigneur Dieu :
Veuilles entendre le murmure de ma pensée.
Ma clameur ois, comme mon Roi, comme mon Dieu. Si te prierai.
[…]

Elégie (1)

[…]
Le Ciel y prend plaisir : les astres les bénissent :
Et l'haleine des vents soupirants à l'entour
Loüe en son doux murmure une si chaste amour.
Que si l'impieté de quelque main barbare
Par le tranchant du fer ce beau couple separe,
[…]

Clarisse

[…]
Ton vieux cygne est resté.
Viens dans ces champs déserts où la bise murmure
Admirer le soleil, qui s'éloigne de nous ;
Viens goûter de ces bois qui perdent leur parure
[…]


La forêt

[…]
Prestiges de mon coeur ! je crois voir s'exhaler
Des arbres, des gazons une douce tristesse :
Cette onde que j'entends murmure avec mollesse,
Et dans le fond des bois semble encor m'appeler.
Oh ! que ne puis-je, heureux, passer ma vie entière
[…]

La mer

[…]
L'âme attendrie en ses rêves se perd,
Et, s'égarant de penser en penser,
Comme les flots de murmure en murmure,
Elle se mêle à toute la nature :
Avec les vents, dans le fond des déserts,
[…]

A Abel

[…]
Entend les vents mugir, et sa voix est muette.
Mais sitôt que Procné ramène les oiseaux,
Dès qu'au riant murmure et des bois et des eaux,
Les champs ont revêtu leur robe d'hyménée,
A ses caprices vains sans crainte abandonnée,
[…]

Ah ! je les reconnais, et mon coeur se réveille

[…]
Leurs bras, à mon berceau dérobant mon enfance,
Me portaient sous la grotte où Virgile eut naissance,
Où j'entendais le bois murmurer et frémir,
Où leurs yeux dans les fleurs me regardaient dormir.
Ingrat ! ô de l'amour trop coupable folie !
[…]

Au chevalier de Pange

[…]
Tu naquis rossignol. Pourquoi, loin du bocage
Où des jeunes rosiers le balsamique ombrage
Eût redit tes doux sons sans murmure écoutés,
T'en allais-tu chercher la Muse des cités ?
Cette muse, d'éclat, de pourpre environnée,
[…]