[...] Que fait votre sujet qui porte votre image. Vous ne jetez brandon, ni dard, ni coup, ni trait, Qui n'ait avant mon coeur percé votre portrait. C'est ainsi qu'on a vu en la guerre civile [...]
[...] Molestant le repos des tremblants citoyens, Et hurlant, et le front barbouillé de poussière, Prêt à jeter à Dieu le blasphème et la pierre. Ô race de Paris, race au coeur dépravé, [...]
[...] Que dirai-je, mon Dieu, de mes yeux infidèles, Qui au lieu de jeter leur regard vers les cieux D'où leur vient le salut, aveuglés aiment mieux Les arrêter ici sur des beautés mortelles. [...]