Trouvez des poèmes qui contiennent coucher - Page 1

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Réalisme

[…]
Les Grecs valaient monsieur Chose, permettez-moi,
Au lieu de voir courir tous ces porteurs de chaînes,
De me coucher pensif sous l'ombrage des chênes !
Permettez-moi d'y vivre inutile, étendu
[…]

Le coucher du soleil romantique

[…]
Comme une explosion nous lançant son bonjour !
- Bienheureux celui-là qui peut avec amour
Saluer son coucher plus glorieux qu'un rêve !
Je me souviens ! J'ai vu tout, fleur, source, sillon,
[…]

A la louange de la forest

[…]
Maint connyn y est en sa crose,
Et maint Ruysseau qui l'herbe arrose,
Sur laquelle on se vient coucher
Au temps nouveau sans se fascher,
Où mainte pensée est desclose
[…]

D'un gourmand, ivrogne et paresseux

[…]
Et moins à rien où l'on travaille,
Fors que pour tirer la ventraille
D'un flacon, et puis me coucher
Pour dormir.

À mon jardinier

[…]
Je rumine en marchant quelque endroit du grimoire ?
Mais non : tu te souviens qu'au village on t'a dit
Que ton maître est nommé pour coucher par écrit
Les faits d'un roi plus grand en sagesse, en vaillance,
Que Charlemagne aidé des douze pairs de France.
[…]


La colombe

[…]
La désaffection des peuples et des rois,
Si pauvre et si perdu que tu n'auras plus même,
Pour t'y coucher en paix, la largeur de ta croix !
Ton dernier temple, ô Christ, est froid comme une tombe ;
[…]

Tou-Tsong

Le long du fleuve jaune, on ferait bien des lieues,
Avant de rencontrer un mandarin pareil.
Il fume l'opium, au coucher du soleil,
Sur sa porte en treillis, dans sa pipe à fleurs bleues.
[…]

Il a neigé la veille et, tout le jour, il gèle

[…]
Le grésil a figé la nature, et les branches
Sur un doux ciel perlé dressent leurs gerbes blanches.
Mais regardez. Voici le coucher de soleil.
À l'occident plus clair court un sillon vermeil.
Sa soudaine lueur féerique nous arrose,
[…]

Insomnie

[…]
Pourquoi râler sur notre bouche,
Pourquoi défaire notre couche,
Et... ne pas coucher avec nous ?
Pourquoi, Belle-de-nuit impure,
[…]

Jeune homme

Oh ! me coucher tranquillement
Pendant des heures infinies !
Et j'étais pourtant ton amant
[…]