Trouvez des poèmes qui contiennent connais - Page 1

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Au lecteur

[…]
C'est l'Ennui ! - l'oeil chargé d'un pleur involontaire,
Il rêve d'échafauds en fumant son houka.
Tu le connais, lecteur, ce monstre délicat,
- Hypocrite lecteur, - mon semblable, - mon frère !

Chanson d'après-midi

[…]
Ah ! les philtres les plus forts
Ne valent pas ta paresse,
Et tu connais la caresse
Qui fait revivre les morts !
[…]

Que me sert de verser deux ruisseaux de mes yeux

Que me sert de verser deux ruisseaux de mes yeux,
Si je ne puis caver le roc de son courage ?
Hélas, je connais bien qu'en la fleur de mon âge
Il faut que je m'en aille aux palus stygieux.
[…]

A M. le marquis de Dangeau

[…]
Savez-vous pour la gloire oublier le repos.
Et dormir en plein champ le harnais sur le dos ?
Je vous connais pour noble à ces illustres marques.
Alors soyez issu des plus fameux monarques,
Venez de mille aïeux, et si ce n'est assez,
[…]

Discours au roi

[…]
Entreprît de tracer, d'une main criminelle,
Un portrait réservé pour le pinceau d'Apelle.
Moi donc, qui connais peu Phébus et ses douceurs,
Qui suis nouveau sevré sur le mont des neuf soeurs,
Attendant que pour toi l'âge ait mûri ma muse,
[…]


Jeune fille, ton coeur avec nous veut se taire

[…]
Aux cheveux noirs, au front plein de charme et de grâce.
Tu rougis ? On dirait que je t'ai dit son nom.
Je le connais pourtant. Autour de ta maison
C'est lui qui va, qui vient ; et, laissant ton ouvrage,
Tu cours, sans te montrer, épier son passage.
[…]

Complainte de l'infortuné et de regrets importuné

[…]
Décédés sont, et en la terre mis,
Qui m'a été une excessive perte
Que j'ai connu et connais bien aperte,
Car j'ai depuis leur trépas et décès
De pauvreté enduré les excès.
[…]

Prisonnier d'un bureau, je connais le plaisir


Prisonnier d'un bureau, je connais le plaisir
De goûter, tous les soirs, un moment de loisir.
Je rentre lentement chez moi, je me délasse
[…]

Paria

[…]
on avenir - Demain... demain
Je ne connais pas mon semblable ;
oi, je suis ce que je me fais.
- Le Moi humain est haïssable...
[…]

Aux mânes de Joseph Delorme

[…]
Pour souffrir et chanter, sur la terre venu,
Tu meurs enfin... pourquoi ne t'ai-je pas connu ?
Car je les connais tous ceux qui seront célèbres ;
Leurs rayons fraternels éclairent mes ténèbres.
[…]