68 poèmes avec "vitre" | Page 2





... et la maison laisse gémir les eaux jaseuses ; ses yeux sont noirs où s'avivaient jadis les vitres,et, vers le soir... Voir le poème



... l'enfant morne, oppressé de souvenirs, étouffe, et son fragile coeur frémit comme une vitre.aussi, maison, ja... Voir le poème



... Ô vent noir dont j'entends sur mon plafond le pas ! tempête, hiver, qui bats ma vitre de ta grêle !mers, n... Voir le poème



... la rivière court, le nuage fuit ; derrière la vitre où la lampe luit,les... Voir le poème



... puisque je n'ai plus d'autre fleur, sa vitre vague où se dessine ... Voir le poème



... et qui, devant avril, éperdus, hésitants, bourdonnent à la vitre immense du printemps.... Voir le poème



... ferme ta porte à l'aquilon ! ferme ta vitre à la nuée !et p... Voir le poème



... les doux parfums brûlants, sur les vitres doréesles feuillage... Voir le poème



... nous réglerons tout dans notre réduit. je protégerai ta vitre qui tremble ;nous ser... Voir le poème



... un pauvre homme passait dans le givre et le vent. je cognai sur ma vitre ; il s'arrêta devant... Voir le poème



... quelque chose à chanter, ami ? car je m'ennuie a voir ta blanche vitre où ruisselle la pluie, ... Voir le poème



... nous voyons s'éclairer de lueurs formidables la vitre de l'éternité.... Voir le poème



... les doux buissons de fleurs aux charmantes haleines, la vitre au vif éclair, le pr... Voir le poème



... si vous n'avez jamais attendu, morne et sombre, sous les vitres d'un bal qui rayonne dan... Voir le poème



... un doux rayon dorait le toit grave et maussade, les vitres flamboyaient sur toute l... Voir le poème



... elle jasait à petit bruit, tandis qu'à la vitre rougieheurtaient les ... Voir le poème



... imite le cri des sabbats. les étangs sont comme des vitres par où l'on voit le... Voir le poème



... ma vitre pleure, adieu ! l'on bâi... Voir le poème



... on peut voir,comme aux temps divins de l'Évangile, par un carreau de vitre enchâssé dans l'argile,... Voir le poème



... moins rudes sont les froids, et la seine charrie : d'énormes blocs de glace aux longs reflets vitreuxÉclaboussent d'arge... Voir le poème