1375 poèmes avec "vent" | Page 64





... ce qui vient d’eux est pur comme l’eau des montagnes, et fort comme le vent qui souffle sur la mer !... Voir le poème



... pâle et sur l'infini terrible suspendue, sent le vent de l'abîme, et recule é... Voir le poème



... un vent sacré venu des espaces p... Voir le poème



... de votre éventail onduleuxvenez-vous... Voir le poème



... les éventails sont clos ; dans l'ai... Voir le poème



... de mes félicités le sort rompit le cours, et je fus emportée au vent de la défaite.vi... Voir le poème



... monte l’odeur du large et la fraîcheur des vagues. les cailles, les perdreaux au doux ventre ardoisélaissent, d... Voir le poème



... l’étendard bleu frissonne au vent sur les tourelles :or... Voir le poème



... là-bas, médée en feu, dans le jardin lascif, sent sa chair se dissoudre aux tièdes vents d'asie ...et dé... Voir le poème



... du limpide cristal distillé par la voûte, dans l’ombre, de longs jours l’abreuvent goutte à goutte,l’... Voir le poème



... l'enfant la suit, heureuse ; elle adore la foule, les cris, les grognements, le vent frais, l'eau qui coule,b... Voir le poème



... elles s'en vont là-bas, éparpillant leurs plumes a travers le vent fou qui les cingle d'écu... Voir le poème



... ils font rugir la foudre au creux de leurs ravins ; et sous les vents du nord à la sauvage al... Voir le poème



... des portiques de marbre et des architectures ; et le vent épicé fait rêver d’a... Voir le poème



... sanglot d'or !... oh ! voici le divin sortilège ! un vent d'aile a couru sur la cha... Voir le poème



... le vent frais de l’aurore agite... Voir le poème



... la nuit tiède s’évente au long des marronniers.... Voir le poème



... aux foules où j'allais, un long frisson vivant me suivait, comme un bruit de feuilles dans le vent ;et ma beauté jetait... Voir le poème



... ce clair matin d'hiver sourit sous ses pierrailles À ses monts familiers qui rêvent dans l'azur...une... Voir le poème



... quand je suis à tes pieds, comme un fidèle au temple immobile et pieux, quand fervent je contempleta bouche... Voir le poème