655 poèmes avec "tait" | Page 1
Le Printemps de Michel D Amboise
... et les avait alors tant embellies que chose était par leur grande verdure, ... Voir le poème
L'habitude de Auguste Angellier
... les gestes, le sourire et le visage même dont la présence était divine et meurtrière ; ... Voir le poème
En passant dans un petit bois de Auteur Anonyme
... en passant dans un petit bois où le coucou chantaitoù le coucou chan... Voir le poème
J'ai perdu mon mouchoir de Auteur Anonyme
... dans la rue notre-dame notre-dame était couchée avec un joli... Voir le poème
La jeune fille et l'ange de la poésie de Sophie D Arbouville
... arrachant une plume à son aile azurée, il la met dans la main qui s'était retirée. en vain, el... Voir le poème
Mobilier scolaire de Paul Arene
... l'école était charmante au temps des ha... Voir le poème
La feuille de Antoine Vincent Arnault
... l'orage a brisé le chêne qui seul était mon soutien.de son in... Voir le poème
A mon ami *** de Felix Arvers
... oh ! c’est qu’elle était si jolie !soit qu’e... Voir le poème
A l'éclair violent de ta face divine de Theodore Agrippa D Aubigne
... ton céleste m'éprit et me ravit aux cieux, ton âme était divine et la mienne fut t... Voir le poème
En mieux il tournera l'usage des cinq sens de Theodore Agrippa D Aubigne
... mes sens n'ont plus de sens, l'esprit de moi s'envole, le coeur ravi se tait, ma bouche est sans parol... Voir le poème
En un petit esquif éperdu, malheureux de Theodore Agrippa D Aubigne
... crève un déluge épais, et ma barque chargée de flots avec ma vie était mi-submergée n'ayant... Voir le poème
Est-il donc vrai qu'il faut que ma vue enchantée de Theodore Agrippa D Aubigne
... si les cieux inclinaient sur moi son amitié, la dure fermeté, si elle était constance.... Voir le poème
Quiconque sur les os des tombeaux effroyables de Theodore Agrippa D Aubigne
... mon coeur, mon sang, mes yeux, verraient entre les morts son coeur, son sang, ses yeux, si c'était là son corps.si ... Voir le poème
Si vous voyiez mon coeur ainsi que mon visage de Theodore Agrippa D Aubigne
... le prince foudroyant d'un outrageux canon la place qui portait ses armes et son nom, br... Voir le poème
Ma belle un jour dessus son lit j'approche de Jean Auvray
... il me sembla que son oeil se fermait, qu'elle était froide et qu'elle s'endor... Voir le poème
A la Forêt de Fontainebleau de Theodore De Banville
... et vous, colosses fiers, arbres noueux, grands chênes, rien n'agitait vos fronts, par le temps ... Voir le poème
Éveil de Theodore De Banville
... j'ai fait pour toi l'achat d'une jeune odalisque. celle qui part était infirme à force d'ans :... Voir le poème
La belle Véronique de Theodore De Banville
... l'ardente causerie agitait ses crécellessur leu... Voir le poème
La lyre de Theodore De Banville
... le lion devant lui se couchait, débonnaire, l'abeille était joyeuse et lui donnait so... Voir le poème
Leçon de chant de Theodore De Banville
... puis, un peu de temps s'écoula... qu'elle était blanche, son épaule !br... Voir le poème