223 poèmes avec "soul" | Page 4





... vous n'aurez plus de guide en l'amoureux voyage, perdant l'astre luisant qui souloit m'esclairer.ma... Voir le poème



... autre-fois mes travaux tu rendois soulagez,et ma jeune fureu... Voir le poème



... un soin cruel ne le va dévorant. au plus matin la fraîcheur me soulage ;s'il fait trop ch... Voir le poème



... la mer autour de lui se soulève et le roule,et ch... Voir le poème



... en patience il n'est bien qui n'abonde, bien et soulas.en patience on ... Voir le poème



... prothee tel qu'a feint le vieux poëte homere qui en plusieurs façons se souloit varier ne s'eust l... Voir le poème



... le bassin est uni : sur son onde limpide pas un souffle de vent ne soulève une ride ; au lev... Voir le poème



... on dit qu'achille, en remâchant son ire, de tels plaisirs soulait s'entretenir,pour ... Voir le poème



... comme on passe en été le torrent sans danger, qui soulait en hiver être roi de ... Voir le poème



... j'ai porté sur mon col le grand palais des dieux, pour soulager atlas, qui sous le fa... Voir le poème



... maintenant la fortune est maistresse de moy, et mon coeur qui souloit estre maistre de soy,... Voir le poème



... non autrement qu'on voit la pluvieuse nue des vapeurs de la terre en l'air se soulever,puis se courbant ... Voir le poème



... mais ce repos, qui soulage le monde de ses tr... Voir le poème



... puisque son corps, qui fut jadis égal aux dieux, se soulait* paître ici de tels m... Voir le poème



... la main d'apelle ou la main phidienne, soulait orner cette ville anci... Voir le poème



... entrez, entrez au monde, aimable théagène, vous devez soulager sa peine,faisant ... Voir le poème



... l'ardeur, l'amour, les fers, me mènent au cercueil. dieux ! faites pour le moins que la mort me soulage !... Voir le poème



... dont, la fin des joueurs la parque couronnant, change la catastrophe en triste tragédie.soul... Voir le poème



... les coins soulevés de ses lèvres r... Voir le poème



... déserte lentement son feuillage peu sûr ; d'insectes soulevant leurs élytres d'azu... Voir le poème