Aux dix mille années de Victor Segalen

... ces barbares, écartant le bois, et la brique et la terre, bâtissent dansle roc afin de b�... Voir le poème

Eloge de la jeune fille de Victor Segalen

... a celle qui, prête à donner ses lèvres à la tasse des épousailles, tremble un peu, ne sait que dire, consent à boire, - et n'a pas en... Voir le poème

Libération de Victor Segalen

... la famine est dans mon coeur. la famine dévore mon coeur : des êtres naissent à demi, sans âmes, sans... Voir le poème

Moment de Victor Segalen

... ce que je sais d'aujourd'hui, en hâte je l'impose à ta surface, pierre plane, étendue visible et présente ;ce que je sens,... Voir le poème

Perdre le midi quotidien de Victor Segalen

... quel sentier vous ramène, quelle a... Voir le poème

Pour lui complaire de Victor Segalen

... mais le vin n'est pas assez âcre et ces vapeurs ne l'étourdi- ssent plus.*pou... Voir le poème

Sur l'Évangile du Navire de Saint Pierre de Lazare De Selve

... les pasteurs, matelots, ne cessent de ramer, le monde es... Voir le poème

Jours de fièvre de Sabine Sicaud

... les sabots des mulets, vous souvient-il, s'y lavent, les pieds du chemineau s'y délassent. dieu juste, ne puis-... Voir le poème

La paix de Sabine Sicaud

... sans t'en douter, vieil homme en houppelande, vieux berger des sentiers blonds de genêts, b... Voir le poème

Le chemin de sable de Sabine Sicaud

... nous regardions très loin ou tout près, simplement. l'air sentait ce qu'il ... Voir le poème

Vigne vierge d'automne de Sabine Sicaud

... ces mains qui tombent d'un air las, Ô vigne vierge, d'un air las et comme absent, ces mains abandonné... Voir le poème

Les arbres de Armand Silvestre

... et, tandis qu'affranchis par les métamorphoses, les corps brisent enfin leur moule passager... Voir le poème

Et quel bien de la Mort ? où la vermine ronge de Jean De Sponde

... pour vivre au ciel il faut mourir plustost icy : ce n'en est pas pourtant le sentier racourcy, mais quo... Voir le poème

Je contemplais un jour le dormant de ce fleuve de Jean De Sponde

... qui traîne lentement les ondes dans la mer, sans que les aquilons le fassent écumer ni bondir, ra... Voir le poème

Mais si faut-il mourir ! et la vie orgueilleuse de Jean De Sponde

... mais si faut-il mourir ! et la vie orgueilleuse, qui brave de la mort, sentira ses fureurs ; les ... Voir le poème

Mon Dieu, que je voudrais que ma main fût oisive de Jean De Sponde

... mon dieu, que je voudrais que ma main fût oisive, que ma bouche et mes yeux reprissent leur devoir ! Écrire... Voir le poème

Mon Soleil qui brillez de vos yeux dans mes yeux de Jean De Sponde

... j'en laisse franchement plus franche la carrière a ceux qui sont plus mal et pensent faire mieux.le pl... Voir le poème

Mortels, qui des mortels avez pris vostre vie de Jean De Sponde

... n'avez point de maisons que les maisons des morts, et ne sentez pourtant de la mort un ... Voir le poème

Si j'avais comme vous, mignardes colombelles de Jean De Sponde

... ainsi, voyant de moi ces ennuis arrachés, je ne sentirais plus ces absences cr... Voir le poème

Si tant de maux passez ne m'ont acquis ce bien de Jean De Sponde

... belle, pour qui je meurs, belle, pensez vous bien que je ne sente point cette injure cruel... Voir le poème