110 poèmes avec "obscure" | Page 2





... si ta vie obscure et charméecoule à l... Voir le poème



... et chaque niche creuse a de chaque statue la figure imprimée, obscure et rabattue. une brun... Voir le poème



... ma nuict dure tousjours, et la tresse dorée, qui sert de jour au monde est obscure à mes yeux.mes y... Voir le poème



... vieux tyran, d'obscure naissance, brillant e... Voir le poème



... rongeaient les fondements d'une vieille ruine : je le vis tout couvert d'une obscure bruine,qui s'élevait... Voir le poème



... triste penser, en prison trop obscure, l'honneur, le soin, ... Voir le poème



... et, pour moi, cette obscure tachereluit comme un ... Voir le poème



... a la ville, à la cour, au sein de l'opulence, sous les affreux lambeaux de l'obscure indigence,la débauch... Voir le poème



... une vive lumière en aveuglant ses yeux de son coeur aveuglé chasse la nuit obscure.grâce, qui de te... Voir le poème



... nous ne voyons la lune estre tousjours obscure ;ainsi comme un crois... Voir le poème



... nous menons en rêvant notre amour qui frissonne d'une obscure tiédeur sous le même ma... Voir le poème



... les ramiers se sont tus, mais les fontaines chantent, fraîcheur obscure, en palpitant pour que j'... Voir le poème



... eblouissante et nue au coeur de l'ostensoir, cette peine est vraiment trop obscure ce soir :qu'on ouvre ... Voir le poème



... arrête-toi devant l'étable obscure. ecoute. l'agneau bê... Voir le poème



... du désir de la mer émeut ses faibles eaux, la conduit vers le jour par des veines obscures, et qui, précipitan... Voir le poème



... réduire à clarté ceux que nuit obscure avait écartés !... Voir le poème



... la nuit était pour moi si très-obscureque terre et ciel elle... Voir le poème



... les plaies, les liens et les prisons obscures, les peines, les sou... Voir le poème



... elle grandit. en l'ombre où sa racine trempe, son tronc, buvant la flamme obscure, s'est nourri ; et le... Voir le poème



... et t'es-tu, m'attendant, réveillée à demi ? t'es-tu, pâle, accoudée à l'obscure fenêtre de l'infini,... Voir le poème