194 poèmes avec "nuage" | Page 5





... que savons-nous ? qui donc connaît le fond des choses ? le couchant rayonnait dans les nuages roses ;c'était la f... Voir le poème



... au-dessus des douleurs, au-dessus des colères, au-dessus du nuage âpre et confus des jours... Voir le poème



... la contemplation du splendide empyrée, les nuages de crêpe et d'argent, l... Voir le poème



... volant dans l'espace vide, semble un nuage lividequi porte un é... Voir le poème



... les nuages rampaient le long des pr... Voir le poème



... orphelins, dieu vous reste. dieu, contre le nuage où je souffre, défendb... Voir le poème



... on vit, on parle, on a le ciel et les nuages sur la tête ; on se... Voir le poème



... aspirer aux douceurs d'un ineffable hymen, envier l'eau qui fuit, le nuage qui vole, sentir son ... Voir le poème



... s'accoude et rêve au bruit de tous les infinis et, dans l'ascension des nuages bénis, regarde se l... Voir le poème



... la mer lui jette en vain sa vague qui l'assiège, le nuage sa brume et l'ouragan son... Voir le poème



... car le beau temps souvent triche, par un gros nuage noirqui n'était pas ... Voir le poème



... soit que mille rayons brisent dans un ciel bleu a des archipels de nuages.oh ! regardez le... Voir le poème



... en pleine éruption de lumière, et la paix, le progrès s'évadant des nuages épais, la science, ... Voir le poème



... l's et l'f et le g sont dans la voûte bleue, des nuages confus gestes aériens ;... Voir le poème



... c'est toi qui seras notre gendre. - non, dit-il, ce nuage épaisest plus puissa... Voir le poème



... dessous un voile blanc me cachait ses beaux yeux, mais las ! c'était en vain, car l'épais d'un nuage ne le saurait cacher ... Voir le poème



... revoyant la mer calme et le ciel sans nuage il se remit au vent q... Voir le poème



... et quand tu roules, démâtée, au large a travers les brisants noirs des nuages !oh ! monter, pe... Voir le poème



... en climats de silence, écho de l'hypogée d'un ciel atone où nul nuage ne s'endortpar des ve... Voir le poème



... dont l'eau-forte sabrait le ciel bleu-clair et froid, solitaire et navrant, descendait l'astre-roi. Ô soleil ! l'autre été, magnifique en ta gloire, tu sombrais, radieux comme un grand saint-ciboire, incendiant l'azur ! À présent, nous voyons un disque safrané, malade, sans rayons, qui meurt à l'horizon balayé de cinabre, tout seul, dans un décor poitrinaire et macabre, colorant faiblement les nuages la terre a fait son ... Voir le poème