51 poèmes avec "nies" | Page 2





... souffrez, penseurs, des pleurs de vos bourreaux baignés ! le deuil sacre les saints, les sages, les génies; la tremblante auréo... Voir le poème



... qui viennent des déserts, entendre les géniesmêler les harmo... Voir le poème



... au bout de tout brin d'herbe allume un diamant ! je me laissais aller à ces trois harmonies, printemps, matin, en... Voir le poème



... ténébreux océans ! cieux, vous êtes l'abîme où tombent les génies, oh ! combien l'oeil ... Voir le poème



... car vos beaux yeux sont pleins de douceurs infinies,car vos petites mains... Voir le poème



... nous parlerons tout bas des choses infinies. tout est grand, tout... Voir le poème



... qu'elle vienne inspirer, ranimer, ô génies,mes chansons, comme u... Voir le poème



... par-dessus l'horizon aux collines brunies, le soleil, cette fle... Voir le poème



... un couchant des cosmogonies !ah ! que la vie est ... Voir le poème



... astres lointains des soirs, musiques infinies,ce coeur universel ru... Voir le poème



... lune bénie des insomnies,blanc médaillon... Voir le poème



... les noms de toutes les vertus ; traîner socrate aux gémonies,pour faire, en des te... Voir le poème



... que de privations durent être subies pour ce peu de toilette ; et combien d'insomnies, de fatigues, de soin... Voir le poème



... profondes, les oraisons funèbres, les envies, les trahisons, les tyran- nies, les impiétés, les irri... Voir le poème



... après l'apothéose après les gémonies,pour le vorace oubli ... Voir le poème



... elle chantait : la nuit s'emplissait d'harmonies ;les grands lions err... Voir le poème



... et le cierge éclaira de sa fauve lueur le mort et le vivant silencieux et roides.nies... Voir le poème



... suit ton vol au ciel bleu de la félicité, et, dans l'enivrement des saintes harmonies,se mêle au tourbillo... Voir le poème



... et sur les sommets d'or du divin kaîlaça, où nage dans l'air pur le vol des blancs génies, l'inexprimable voix ... Voir le poème



... ce sont des choeurs soudains, des chansons infinies, un long gazouillemen... Voir le poème