199 poèmes avec "morne" | Page 8





... tandis qu'entre les rocs glisse et luit, morne éclairde convoitise ... Voir le poème



... les mornes oiseaux d'heure en heure... Voir le poème



... aux mornes dévouements, comme aux ... Voir le poème



... par le verre brûlé d'aromates et d'or, par les carreaux glacés, hélas ! mornes encorl'aurore se jet... Voir le poème



... minuit au vieux beffroi : l'ombre dort, et la lune se joue en l'aile noire et morne dont la nuit,sombre c... Voir le poème



... l'hiver, saison de l'art serein, l'hiver lucide, et, dans mon être à qui le sang morne présidel'impuissance... Voir le poème



... tout est muet, l'oiseau ne jette plus ses cris. la morne plaine est blanche au loi... Voir le poème



... pas un bruit, pas un son ; toute vie est éteinte. mais on entend parfois, comme une morne plainte,quelque chien... Voir le poème



... au lieu du ciel rêvé dans l'âpre solitude, que la morne impuissance et l'incurabl... Voir le poème



... voluptueusement berçons notre faiblesse dans l'océan du soir morne et délicieux.len... Voir le poème



... Ô pins ! comme la nuit fonce vos mornes deuils !la cigale av... Voir le poème



... et maintenant, empli de somnolences vagues, je sombre dans un grand et morne nonchaloir.avec l... Voir le poème



... l'opacité des nuits attire le coeur morne ! il y sent l'appeler... Voir le poème



... ce n'est point le zéphyr sur les flots de la mer, c'est la plainte du vent sur ta morne étendueoù je voudra... Voir le poème



... parmi les varechs et parmi les épaves, mes rêves et mon orgueil, mornes épaves,pour que tu ... Voir le poème



... loin des villes, je veux sur les falaises mornessecouer la torpeur de... Voir le poème



... contre le mur tissé d'un vieux lierre vermeil, et regarder longtemps dans l'eau glacée et mornes'éteindre mon image ... Voir le poème



... il était morne et soucieux ;d'une ma... Voir le poème



... et les ponts, et les rues, et les mornes statues,et le golfe ... Voir le poème



... entre mon front sans âme et vos corps abolis, et la même suprême et morne tolérance apparente ... Voir le poème