Oeil éloigné du Jour, qui te recrée de Pontus De Tyard

... peux-tu tirer une si vive espèce d'un corps, non corps, qui vainement se crée ?coeur m... Voir le poème

Pere divin, sapience eternelle ... de Pontus De Tyard

... pere divin, sapience eternelle, commencement et fin de toute chose,br... Voir le poème

Père du doux repos, Sommeil, père du Songe de Pontus De Tyard

... ton absence, sommeil, languissamment allonge et me fait pl... Voir le poème

Pourrai-je bien sans toi, ma chère guide de Pontus De Tyard

... montrer ce jour face sereine et claire ? mon oeil qui luit seulement pour te plaire, pourr... Voir le poème

Puisque je vois que mes afflictions de Pontus De Tyard

... le trait par vous, ô mes yeux, fut reçu, qui me blessa au coeur si rudement, quand, attiré d'un ... Voir le poème

Quand le désir de ma haute pensée de Pontus De Tyard

... trouve en chemin un flot de cruauté, duquel elle est rudement repoussée. puis ... Voir le poème

Sonnet de Pontus De Tyard

... mon âme est en vos mains heureusement étreinte du plus gra... Voir le poème

Chanson de Honore D Urfe

... si les dieux sont faits de justice, soit enfin souffert vainement ? peut-il être qu'un... Voir le poème

Chanson de l'inconstant Hylas de Honore D Urfe

... on dit que qui ne se lasse de longuement importuner, par force... Voir le poème

Qu'il connaît qu'on feint de l'aimer de Honore D Urfe

... il faut être sans coeur pour ne point désirer d'être si doucement déçu par sa feintise.b... Voir le poème