39 poèmes avec "longuement" | Page 2





... son tronc, buvant la flamme obscure, s'est nourri ; et les soleils d'un siècle ont longuement mûri le bouton colos... Voir le poème



... or seras tu (je le sçai) trop humaine, et ne pourras longuement voir ma peine. mais u... Voir le poème



... soeur de roger, il m'eût, possible, prise. mais quoi ? amour ne put longuement voirmon coeur n'aiman... Voir le poème



... offrent les fruits vermeils. sous le festin fumant la table aux ais nombreux a gémi longuement. […]... Voir le poème



... faire éternel mon sommeil éloigné, pour bienheurer plus longuement mon âme,ou, si par m... Voir le poème



... et que sur celui de la saône j'ai plaint longuement ma douleur, je viens ... Voir le poème



... aurons-nous point la paix quelquefois sur la terre ? sur la terre aurons-nous si longuement la guerre, la guerre ... Voir le poème



... et là tout seul assis il sembloit qu'au passage il eust quelque gibier longuement attendu.j'estoy franc... Voir le poème



... tous mourrons ou tart ou briefment. nul ne peut garder longuement le tresor de tous bie... Voir le poème



... de l'âme d'elle, tellement qu'elle ne soit pas longuementen peine, souci et dou... Voir le poème



... que serraient autrefois les gentes damoiselles se heurtent longuement dans un hideux amour.... Voir le poème



... longuement il te cherche et te pours... Voir le poème



... il t'a servi longuement,c'est raison que douc... Voir le poème



... dictes comment sa puissance estandue, si longuement des peuples attendue, br... Voir le poème



... l'un d'un côté se plaignait de ta mort, faisant regret qui longuement dura ; l'autre par ve... Voir le poème



... le jardin nu sourit comme une face aimée qui vous dit longuement adieu, quand la mort vien... Voir le poème



... Ô silence et fraîcheur où tes yeux sont ouverts pour suivre longuement ta muette pensée sur... Voir le poème



... et c'est dans une vaste et pensive harmonie que répond longuement à ta mélancolie la ... Voir le poème



... on dit que qui ne se lasse de longuement importuner, par force... Voir le poème