191 poèmes avec "longtemps" | Page 9





... ah ! la poudre des saules qu'une aile secoue ! les roses des roseaux dès longtemps dévorées !mon canot... Voir le poème



... l'homme veut tout sonder, - et savoir ! la pensée, la cavale longtemps, si ... Voir le poème



... la ruelle sinistre est mon seul habitacle ; et depuis si longtemps que je traîne mes cors, ... Voir le poème



... trop chaud à la bataille ; demeurons plus longtemps,qu'un de nos passetem... Voir le poème



... rien en lui, pas un poil de son velours ne bouge ; longtemps, il reste là, noir sur u... Voir le poème



... dans les bras amoureux de la belle thétis : elle se plaint qu'au ciel trop longtemps tu demeures.nuit,... Voir le poème



... puis d'une voix plaintive en l'air évanouie me prédit mes malheurs et longtemps, sans ciller, murmura... Voir le poème



... vive, brillante et toujours passagère Être inconstante aussi longtemps qu'on peut car un tem... Voir le poème



... espoir longtemps m'en a monstré la voye, ... Voir le poème



... mais seulement, le soir, vous parler à la fête, et tout bas, bien longtemps, vers vous penchant la t�... Voir le poème



... mais qu'un peu de pitié console enfin tes mânes ; que, déchiré longtemps par des rires profanes, ... Voir le poème



... les bois sur les coteaux, comme l'homme en famille, résistent plus longtemps ; un pâle rayon brille ... Voir le poème



... et veille que surtout la cruche, à ton retour, garde longtemps glacée et lentement fond... Voir le poème



... À l'oeil qui s'en repaît longtemps la couleur des fleurs... Voir le poème



... ouvre d'abord tes yeux à mon doux crépuscule, prépare-les longtemps à l'éclat du soleil ; ... Voir le poème



... de longtemps nos pensers n'habitaient ... Voir le poème



... de la beauté de ces madones qu'on voit dans les vitraux anciens. longtemps -bien avant les vitra... Voir le poème



... (lady macbeth n'eut-elle pas ce geste après avoir frotté la tache si longtemps ?)mains qui se cr... Voir le poème



... blonde, tu me souris vaguement, tu tressailles ! nos coeurs royaux l'un pour l'autre ont battu longtemps. a genoux ! pour bén... Voir le poème



... mais si mon foible corps (qui comme l'eau s'escoule) et s'affermit encor plus longtemps qu'un plus fort)s'ava... Voir le poème