587 poèmes avec "iles" | Page 25





... fait, avec ses rayons, de sauvages corbeilles de ces asiles tout en fleurs où les ab... Voir le poème



... c'est l'heure où brillent à tes yeux les fleurs, étoiles de la terre, et les �... Voir le poème



... que les vents enragés fassent précipiter les étoiles du ciel dans la mer une �... Voir le poème



... sur ses ailes, amour, d'un vol plein de... Voir le poème



... déjà la nuit s'avance, et, du sombre orient, ses voiles par degrés dans les airs... Voir le poème



... ce vieillard, contraire aux amants, des ailes porte,et, en fuyant, ... Voir le poème



... assujettir l'enfer dans un cercle magique, c'est ce qu'entreprend l'homme, et dont il vient à bout.iles... Voir le poème



... gardera verdoyants au fond des catacombes, les lauriers que l'oubli sécherait sur son front.iles... Voir le poème



... mer des yeux sur tes eaux claires nous naviguâmes le désir gonflait nos voiles si rapiécées nous p... Voir le poème



... voici que le matin frise comme un jet d'eau. l'air est un écran d'or où des ailes sont peintes ; pourqu... Voir le poème



... le vendangeur ployer sous le faix des paniers ; et semble qu'à l'envi les fertiles montagnes, les humide... Voir le poème



... nos clartés ici bas ne sont qu'énigmes sombres, mais dieu sans voiles et sans ombres nous �... Voir le poème



... enfin, lorsque la nuit a déployé ses voiles,la lune, au visage ch... Voir le poème



... deux étoiles à demi nues semblabl... Voir le poème



... où les jaunes citrons et les pommes encore sont dans un vert lambris autant d'étoiles d'or. les plus dignes... Voir le poème



... tous deux vivants peut-être, et le fourneau d'où filent des étoiles de braise, et la port... Voir le poème



... minuit faisait jaillir, comme des étincelles, les gerbes de ses sons qui, palpitant des ailes,montaient et vibraien... Voir le poème



... sur la vitre, allumée en prismes éclatants, fleurir la fleur du givre aux étoiles d'aiguilles. voici qu... Voir le poème



... rien ne bougeait encore au front des palais. l'eau était morte. les camps d'ombres ne quittaient pas la route du bois. j'ai marché, réveillant les haleines vives et tièdes, et les pierreries regardèrent, et les ailes se levèrent sans bru... Voir le poème



... dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur : - est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles,million d'oiseaux d'o... Voir le poème