133 poèmes avec "eteint" | Page 2





... d'un dieu marin tirant ses membres nus et verts sur le lit de la morgue... et les yeux grands ouverts !eteint... Voir le poème



... brisent les pâles fleurs et les jettent au vent. et vous recommencez ainsi, le jour suivant.eteint... Voir le poème



... chatte, détourne tes prunelles ; j'y trouve trop de noir au fond.eteint... Voir le poème



... et semez du sel dans la terre. l'herbe pousse entre les pavés.eteint... Voir le poème



... malgré les luttes et les fièvres, savaient les suprêmes baisers.eteint... Voir le poème



... perle que rien ne peut ternir, tu demeures la plus aimée.eteint... Voir le poème



... personne. car un paradis matinal, s'ouvre et me fait taire.eteint... Voir le poème



... ainsi l'ombreuse nuit révère ta puissance, ainsi les beaux pavots fleurissent à ton gré.eteint... Voir le poème



... tout s'éteint-il comme l'aurore des beaux jours qu'à ton front j'ai lus ?eteint... Voir le poème



... pour cacher mes larmes muettes, entrouvre d'un rayon les noires violettes !eteint... Voir le poème



... ce n'est qu'un vieux prêtre qui pleure : sentinelle ! ne tirez pas !eteint... Voir le poème



... et que l'espoir filtre toujours au fond de ta joie écoulée !eteint... Voir le poème



... mon âme un jour sera calme ou brisée par toi !eteint... Voir le poème



... son voile a protégé l'ingrat qu'on veut chérir : on ose aimer encore, on ne veut plus mourir.eteint... Voir le poème



... j'aurais voulu marcher trois pas dans ton chemin, t'appeler par ton nom et te serrer la main.eteint... Voir le poème



... ce dieu sans yeux et sans merci fait jaillir des feux de ma cendre...eteint... Voir le poème



... soleil, tu aideras à cet autre soleil qui éclaire en mon âme.eteint... Voir le poème



... ce n'est point feu que ma peine cruelle, ce n'est point vie, et si ce n'est point mort.eteint... Voir le poème



... sépulcre aussi, rempli de cendres jusqu'aux bords, mon âme, songe à l'ombre, au sommeil, songe aux morts !eteint... Voir le poème



... l'incurable dégoût de la clameur humaine dont la nuit au néant traîne le vain orgueil !eteint... Voir le poème