154 poèmes avec "etais" | Page 2





... tel que j'étais je suis resté. je l'aime.etais... Voir le poème



... d'être ma reine en la chanson que je lui chante.etais... Voir le poème



... fierté, j'ai mieux aimé mon pauvre coeur que toi : tue, ou pardonne-moi !etais... Voir le poème



... du coeur je vous en remercie : c'était mon petit amoureux !etais... Voir le poème



... c'était un jour pareil à ce beau jour que, pour tout perdre, incendiait l'amour !etais... Voir le poème



... devraient tous au village passer leurs jours !etais... Voir le poème



... je monte à lui, je le cherche partout ; mais de chansons, plus une ! oh ! plus du tout !etais... Voir le poème



... ni la fleur, ni la grâce, ni le feu du printemps ?etais... Voir le poème



... j'aurais voulu marcher trois pas dans ton chemin, t'appeler par ton nom et te serrer la main.etais... Voir le poème



... n'ayant qu'un seul vouloir, toujours d'accord ensemble, fors qu'ils se font la guerre à qui s'aimera mieux !etais... Voir le poème



... se vendre à beaux deniers comptants, c'est n'avoir amour ni courage.etais... Voir le poème



... soleil, tu aideras à cet autre soleil qui éclaire en mon âme.etais... Voir le poème



... si je sens un hiver m'éloignant de votre oeil, puis un été bouillant lorsque je le vois luire ?etais... Voir le poème



... l'aube indique les fûts dans la forêt de l'ombre, et c'est la vie énorme encor qui recommence !etais... Voir le poème



... devinais-tu déjà le farouche ennemi sur abel faible et nu s'essayant à son crime ?etais... Voir le poème



... du médisant j'aurai peu de souri et serai sûr à tout jamais de vivre.etais... Voir le poème



... renversa sur-le-champ, d'une poudreuse nue, les faibles fondements de la grande cité.etais... Voir le poème



... a qui même les rois ne peuvent donner loi, et qui peut d'un chacun à son plaisir écrire.etais... Voir le poème



... je visse ma franchise en prison se changer, et la fleur de mes ans en l'hiver de ma vie.etais... Voir le poème



... et vis depuis la souche dédaignée se reverdir en deux arbres jumeauxetais... Voir le poème