70 poèmes avec "chevre" | Page 2





... une pure lueur, de jour en jour moins sombre, o nature, alphabet des grandes lettres d'ombre ! chevre... Voir le poème



... sois petit comme source et sois grand comme fleuve.chevre... Voir le poème



... et qu'on fait consumer en hâte par la chaux des corps d'hommes sanglants et d'enfants encor chauds !chevre... Voir le poème



... je prendrai par la main les deux petits enfants ; j'aime les bois où sont les chevreuils et les faons, où... Voir le poème



... et l'aube en pleurs sourit. - veux-tu, bel arbre vert, arbre du hallier sombre où le chevreuil s'échappe,de la m... Voir le poème



... hercule l'alla prendre au fond de son terrier, et l'amena devant jupiter par l'oreille.chevre... Voir le poème



... oh ! j'en veux faire le nid où ton coeur se pose !chevre... Voir le poème



... disperse à tous les vents avec son souffle amer la laine des moutons sinistres de la mer.chevre... Voir le poème



... 1873.chevre... Voir le poème



... la plainte ni la peur ne changent le destin ; et le moins prévoyant est toujours le plus sage.chevre... Voir le poème



... cet accident n'est pas nouveau dans le chemin de la fortune.chevre... Voir le poème



... dans la main d'enfants comme moi ! chevre... Voir le poème



... il rampe près de terre, où ses rameaux penchés par la dent des chevreaux sont toujours retranch... Voir le poème



... et, devant leur chanson, la tienne s'était tue.chevre... Voir le poème



... la bruyère et le thym, les glaïeuls et les lys ; et le jeune chevreuil, que l'aube éveille, ... Voir le poème



... et que mon ombre encore, à nos amours fidèle, passe dans vos rameaux comme un battement d'aile !chevre... Voir le poème



... fuis toujours l'oeil impur et la main du profane, lumière de l'âme, ô beauté !chevre... Voir le poème



... et murdoc'h fut mangé des aigles et des loups.chevre... Voir le poème



... il est à toi, berger, dont les chants sont plus doux qu'une figue d'aigile, et rendent pan jaloux.chevre... Voir le poème



... viens ! je nourris pour toi, depuis bientôt neuf jours, onze chevreaux tout blancs et quatre ... Voir le poème