25 poèmes avec "chauve" | Page 1





... quand la terre est changée en un cachot humide, où l'espérance, comme une chauve-souris,s'en va battan... Voir le poème



... parmi tous les frisons des chauves, brunes, blondes et ... Voir le poème



... abrite en ses lambris moisis cloportes et chauves-souris ; l'ortie a t... Voir le poème



... chauves-souris disséminées,br... Voir le poème



... un jour deux chauves dans un coinvirent b... Voir le poème



... chauves-souris, hiboux, chouette... Voir le poème



... Ô fiancés d'hier, encore amants, l'alcôve où nichent vos amours, à quelque vieillard chauvea servi comme à vous ... Voir le poème



... l'on entend les battements d'ailes d'invisibles chauves-souris, et les drape... Voir le poème



... puis les imperators, sous le venasque chauve, bâtirent la piscine... Voir le poème



... pendant que nous marchions ; et la grotte farouche et la ronce sauvage et le roc chauve et noir, envieux, mur... Voir le poème



... volent l'orage, chouette, et l'ombre, chauve-souris.vent glac�... Voir le poème



... je ris, nul ne sourit ; je souffre, nul ne pleure. cette chauve-souris de son aile m'effl... Voir le poème



... ils voyaient se ruer, effrayants, ténébreux, avec des cris pareils aux voix des vautours chauves,d'horribles escadron... Voir le poème



... fixe et terrifiant de l'infini hagard ; une chauve-souris éternelle l'effle... Voir le poème



... de ces impurs démons des soirs, j'irai prosterner mon front chauvedevant tes sacrés enc... Voir le poème



... qu'il pende échevelé, la bouche violette ! que, visible à lui seul, la mort, chauve squelette,rie en le r... Voir le poème



... le crépuscule étend sur les longs sillons gris ses ailes de fantôme et de chauve-souris ;j'entends enc... Voir le poème



... mais toi, géant ! - d'où vient que sur ta tête chauveplanent incessamment d... Voir le poème



... je vécusse, et non à la mienne. il n'est tête chauve qui tienne,je vous su... Voir le poème



... tu sombrais, radieux comme un grand saint-ciboire, incendiant l'azur ! À présent, nous voyons un disque safrané, malade, sans rayons, qui meurt à l'horizon balayé de cinabre, tout seul, dans un décor poitrinaire et macabre, colorant faiblement les nuages la terre a fait son temps ; ses reins n'en peuvent plus. et ses pauvres enfants, grêles, chauves et blêmes d'avoir trop ... Voir le poème