62 poèmes avec "cerveau" | Page 2





... mais qui dit que le soin d'éviter pauvreté te ronge le cerveau, ta face le dément. ... Voir le poème



... qui me dit que demain est jour de consistoire, qui me rompt le cerveau de cent propos divers,br... Voir le poème



... le coeur fait au cerveau cette humeur exhaler,... Voir le poème



... quant à moi, je ne veux, pour un vers allonger, m'accourcir le cerveau : ni pour polir ma rime,... Voir le poème



... las ! je faus, ce n'est vous qui dedans mon cerveau desseignés nuit et j... Voir le poème



... quelques fleurs, ce dit-on, apportent allégeance aux cerveaux affaiblis par étude las... Voir le poème



... dieu sait quelles chimères noires hantent cet opaque cerveau !et quels illisibles ... Voir le poème



... dégoise j'ai ramolli son cerveau.oh ! dit la femmelett... Voir le poème



... ne telle chose raconter que me sens au cerveau monteren cette plaine... Voir le poème



... des heures, fort maussade, à remettre à leur place au fond de mon cerveau mes plans, mes visions, ... Voir le poème



... monsieur prudhomme est un veau qui s'enrhume du cerveau au moindre vent frais... Voir le poème



... toujours les coeurs les plus moroses et les cerveaux les plus boudeurs on... Voir le poème



... car pour qu'un cerveau se fêle et s'échapp... Voir le poème



... néant. ton propre fil en toi-même est rompu. en toi, dans ton cerveau, tu n'as pas encor pu br... Voir le poème



... non content de ce songe il y joint les atomes, enfants d'un cerveau creux, invisibles fantôm... Voir le poème



... sans doute qu'à la foire ils vont vendre sa peau. - parbleu, dit le meunier, est bien fou du cerveauqui prétend contenter... Voir le poème



... faire en un jour mille vers, mille et mille, et cependant mon cerveau se distille ?c'est tr... Voir le poème



... flottaisons de troupeaux éclaireurs d'encéphales ; pythons en intestins de cerveaux morts d'abstrait,ban... Voir le poème



... ouragans inconnus des débâcles finales, accourez ! déchaînez vos trombes de rafales l prenez ce globe immonde et poussif ! balayez sa lèpre de cités et ses fils ennuyés ! et jetez ses débris sans nom au noir immense ! et qu'on ne sache rien dans la grande innocence des soleils éternels, des étoiles d'amour, de ce cerveau pourri qui fut la terre, ... Voir le poème



... À quelque pauvre in-octavo... hélas ! c'est vrai que mon cerveau s'est vu, des soirs, ... Voir le poème