124 poèmes avec "aune" | Page 3





... avec ses dents jaunes de tartre, son crân... Voir le poème



... un peu devant le jour quand l'aube bigarrée de brun, blanc, jaune et bleu montre son front ... Voir le poème



... mes jeunes chênes, la forme et le charme des jambes, le pied nu de mes aunes se cambre dans les sourc... Voir le poème



... a la fusée, un dieu païen, faune ou priape,rit, engain... Voir le poème



... qui s'enroulent autour de ce débris divin, ignorant s'il fut pan, faune, hermès ou silvain, ... Voir le poème



... le zèbre - un oublié de la faune héraldique -,le zèb... Voir le poème



... aux blanches nudités des nymphes peu vêtues, la faune aux pieds de chèvre, aux... Voir le poème



... puisque rien ne t'arrête en cet heureux pays, ni l'ombre du palmier, ni le jaune maïs,ni le repos, ni... Voir le poème



... et le faune, qui se dérobe, rega... Voir le poème



... qu'on soit aimé d'un gueux, d'un voleur, d'une fille, d'un forçat jaune et vert sur l'épaule imp... Voir le poème



... le faune aux doigts d'écorce ... Voir le poème



... il tenait à l'affût les douze ou quinze sens qu'un faune peut braquer sur les plai... Voir le poème



... et la belle au collier jaune,se penchant sur son r... Voir le poème



... comme une perruche au pied leste dans le blé jaune, ou bien encorcomme, ... Voir le poème



... feuille morte, resplendissent, de tout leur éclat, les ors verdis, les ambres jaunes, les orpins, les ocres d... Voir le poème



... sur les tempes ; j'aime ta bouche rouge comme une baie de sorbier, tes joues rondes et jaunes ; j'aime tes pieds t... Voir le poème



... c'est un des miroirs où le faune vient voir si son tei... Voir le poème



... ressalis, sont hélas ! deux soleils eclipsez, le coral de sa bouche est ores jaune-pasle.les roses, ... Voir le poème



... j'aime, du frais des toits de notre babylone, concevoir ton climat et ta flore et ta faune.ne sachant qu'inv... Voir le poème



... tu sombrais, radieux comme un grand saint-ciboire, incendiant l'azur ! À présent, nous voyons un disque safrané, malade, sans rayons, qui meurt à l'horizon balayé de cinabre, tout seul, dans un décor poitrinaire et macabre, colorant faiblement les nuages la terre a fait son temps ; ses reins n'en peuvent plus. et ses pauvres enfants, grêles, chauves et blêmes d'avoir trop médité les éternels problèmes, grelottants et voûtés sous le poids des foulards au gaz jaune et mourant des brumeux bo... Voir le poème