Poèmes de victor hugo (375)



Âme ! être, c'est aimer...

Éclaircie

Épitaphe de Jean Valjean

Être aimé

Ô Charles, je te sens près de moi...

Ô gouffre ! l'âme plonge et rapporte le doute

Ô mes lettres d'amour, de vertu, de jeunesse

Ô Rus

Ô soldats de l'an deux ! ...

Ô temps ! si l'on pouvait dans ton urne profonde

1er janvier

A André Chénier

A celle qui est restée en France

A celle qui est voilée

A ceux qu'on foule aux pieds

A ceux qui sont petits

A des âmes envolées

A dona Rosita Rosa

A Granville, en 1836

A Jeanne

A l'Arc de triomphe

A l'enfant malade pendant le siège

A la belle impérieuse

A la fenêtre, pendant la nuit

A la France

A la mère de l'enfant mort

A M. Froment Meurice

A ma fille

A ma fille Adèle

A Madame D. G. de G.

A mademoiselle Louise B.

A Mlle Fanny de P.

A Petite Jeanne

A propos d'Horace

A propos de dona Rosa

A qui donc sommes-nous ?

A qui la faute ?

A quoi songeaient les deux cavaliers ...

A un homme partant pour la chasse

A un poète

A un poète aveugle

A une femme

A une jeune fille

A Vianden

A Villequier

A Virgile

Abîme - La Voie Lactée

Adieux de l'hôtesse arabe

Ah ! c'est un rêve ! non ! nous n'y consentons point

Air de la princesse d'Orange

Amis, un dernier mot !

Amour secret

Apparition

Après l'hiver

Attente

Au bois

Au bord de la mer

Au peuple

Au point du jour, souvent en sursaut, je me lève

Aucune aile ici-bas n'est pour longtemps posée

Autre chanson

Autre guitare

Aux arbres

Aux champs

Aux Feuillantines

Aux morts du 4 décembre

Aux proscrits

Bêtise de la guerre

Bièvre

Bon conseil aux amants

C'est à coups de canon qu'on rend le peuple heureux

C'est la nuit ; la nuit noire, assoupie et profonde

Canaris

Ce qu'on entend sur la montagne

Ce que c'est que la mort

Ce que dit la bouche d'ombre (I)

Ce que dit la bouche d'ombre (II)

Ce qui n'a pas encore de nom

Ce qui se passait aux Feuillantines vers 1813

Ce siècle avait deux ans

Ce siècle est grand et fort. Un noble instinct le mène

Cent mille hommes, criblés d'obus et de mitraille

Certe, elle n'était pas femme et charmante en vain

Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent

Chanson (L'Ame en fleur)

Chanson (Proscrit, regarde les roses...)

Chanson d'autrefois

Chanson d'autrefois (autre)

Chanson de Gavroche

Chanson de grand-père

Chanson de pirates

Chanson des oiseaux

Chanson du bol de punch

Chanson pour faire danser en rond les petits enfants

Chant sur le berceau

Charles Vacquerie

Choses du soir

Clair de lune

Commencement d'une illusion

Conclusion

Crépuscule

Cri de guerre du mufti

D'après Albert Dürer

Danger d'aller dans les bois

Dans ce jardin antique où les grandes allées

Dans l'alcôve sombre

Dans l'ombre

Dans la forêt

Dans le jardin

Dante écrit deux vers

Demain, dès l'aube...

Depuis quatre mille ans il tombait dans l'abîme

Depuis six mille ans la guerre

Deux voix dans le ciel

Dicté en présence du glacier du Rhône

Du haut de la muraille de Paris

Ecrit après la visite d'un bagne

Ecrit au bas d'un crucifix

Ecrit en 1827

Ecrit sur la vitre d'une fenêtre flamande

Ecrit sur le tombeau

Elle était déchaussée, elle était décoiffée...

Elle était pâle, et pourtant rose...

Elle avait pris ce pli ...

Elle est gaie et pensive ; elle nous fait songer

En écoutant chanter la princesse ***

En hiver la terre pleure

En mai

En marchant la nuit dans un bois

En marchant le matin

En sortant du collège

Enthousiasme

Envoi des feuilles d'automne

Est-il jour ? Est-il nuit ? horreur crépusculaire !

Et Jeanne à Mariette a dit

Exil

Explication

Extase

Fenêtres ouvertes

Fonction du poète

France ! à l'heure où tu te prosternes

Fuite en Sologne

Fulgur

Garde à jamais dans ta mémoire

Georges et Jeanne

Halte en marchant

Hermina

Heureux l'homme occupé ...

Hier au soir

Hier, la nuit d'été, qui nous prêtait ses voiles

Horror

Hymne

Il fait froid

Il faut que le poète

Insondable, immuable, éternel, absolu

J'ai cueilli cette fleur pour toi sur la colline

J'aime l'araignée

J'aime un petit enfant, et je suis un vieux fou.

Janvier est revenu. Ne crains rien, noble femme !

Je la revois, après vingt ans, l'île où Décembre

Je n'ai pas de palais épiscopal en ville

Je ne me mets pas en peine

Je ne veux condamner personne, ô sombre histoire

Je ne vois pas pourquoi je ferais autre chose

Je prendrai par la main les deux petits enfants

Je pressais ton bras qui tremble

Je sais bien qu'il est d'usage...

Je suis enragé. J'aime

Je suis fait d'ombre et de marbre

Je suis naïf, toi cruelle

Je t'aime, avec ton oeil candide

Je travaille

Jeanne était au pain sec...

Jeanne chante ; elle se penche

Jeanne dort

Jeanne endormie

Jeanne fait son entrée

Jeanne songeait

Jeune fille, l'amour, c'est d'abord un miroir

Jeunes gens, prenez garde aux choses que vous dites

Jolies femmes

Jour de fête

Jour de fête aux environs de Paris

L'art et le peuple

L'aube est moins claire...

L'aurore s'allume

L'autre

L'enfance

L'enfant

L'expiation

L'hirondelle au printemps cherche les vieilles tours

L'ombre

L'oubli

L'univers, c'est un livre...

La blanche Aminte

La captive

La chanson de Maglia

La cicatrice

La coccinelle

La douleur du pacha

La Figliola

La hache ? Non. Jamais...

La méridienne du lion

La nature

La nature est pleine d'amour

La pauvre fleur disait au papillon céleste

La pente de la rêverie

La plume de Satan

La prisonnière passe...

La sieste

La sortie

La source

La source tombait du rocher

La statue

La sultane favorite

La Terre - Hymne

La tombe dit à la rose

La vie aux champs

La ville prise

La vision de Dante

Laetitia rerum

Laissez. - Tous ces enfants sont bien là

Lazzara

Le champ du potier

Le couchant flamboyait à travers les bruines

Le crapaud

Le crucifix

Le deuil

Le doigt de la femme

Le firmament est plein de la vaste clarté

Le hibou

Le matin

Le mendiant

Le poème éploré se lamente

Le poète s'en va dans les champs

Le pot cassé

Le Progrès calme et fort...

Le ravin

Le rouet d'Omphale

Le sacre de la femme - Ève

Le sacre de la femme - Ineffable lever...

Le satyre

Le soleil était là qui mourait dans l'abîme

Le soleil s'est couché ce soir dans les nuées

Le trouble-fête

Le vieillard chaque jour dans plus d'ombre s'éveille

Les autres en tout sens laissent aller leur vie

Les Djinns

Les enfants lisent, troupe blonde

Les enfants pauvres

Les femmes sont sur la terre...

Les forts

Les fusillés

Les innocents

Les martyres

Les oiseaux

Les paysans au bord de la mer

Les siècles sont au peuple...

Lettre à une femme

Liberté !

Lise

Lorsque l'enfant paraît

Lorsque ma main frémit si la tienne l'effleure

Lux

Ma Jeanne, dont je suis doucement insensé

Magnitudo parvi

Mai

Mais tu brûles !

Malédiction

Me voici ! c'est moi ! Rochers, plages

Melancholia

Mes deux filles

Mes poèmes !

Mon bras pressait ta taille frêle...

Mors

Mugitusque boum

N'est-ce pas, mon amour, que la nuit est bien lente

Non

Nos morts

Nous

Nouvelle chanson sur un vieil air

Novembre

Nuit

Nuit tombante

Nuits d'hiver

Nuits de juin

Où donc est la clarté ? Cieux, où donc est la flamme ?

Où donc est le bonheur ? disais-je.

Oceano nox

Oh ! dis ! pourquoi toujours regarder sous la terre

Oh ! je fus comme fou...

Oh ! n'insultez jamais une femme qui tombe !

Oh ! pour remplir de moi ta rêveuse pensée

Oh ! quand je dors...

Oh ! qui que vous soyez, jeune ou vieux, riche ou sage

On vit, on parle...

Oui, je suis le rêveur ...

Paris bloqué

Paris incendié

Paroles sur la dune

Passé

Pasteurs et troupeaux

Pendant que le marin...

Pepita

Pleurs dans la nuit

Près d'Avranches

Premier mai

Printemps

Prologue

Promenades dans les rochers (I)

Promenades dans les rochers (II)

Promenades dans les rochers (III)

Promenades dans les rochers (IV)

Puisqu'ici-bas toute âme

Puisque j'ai mis ma lèvre à ta coupe encor pleine

Puisque le juste est dans l'abîme

Puisque mai tout en fleurs dans les prés nous réclame

Puisque nos heures sont remplies

Pure innocence ...

Quand deux coeurs en s'aimant ont doucement vieilli

Quand la lune apparaît dans la brume des plaines

Quand le livre où s'endort chaque soir ma pensée

Quand les guignes furent mangées,

Quand nous habitions tous ensemble

Que t'importe, mon coeur

Quelle est la fin de tout ?

Rêverie

Regard jeté dans une mansarde

Regardez : les enfants se sont assis en rond

Ronde pour les enfants

Rosa fâchée

Saison des semailles. Le soir

Satan dans la nuit - I

Satan pardonné

Soir

Soleils couchants

Souvenir de la nuit du 4

Spectacle rassurant

Stella

Sur la falaise

Sur une barricade

Suzette et Suzon

Tous les hommes sont l'Homme ...

Toute la vie d'un coeur - 1817 - Adolescence

Toute la vie d'un coeur - 1819

Toute la vie d'un coeur - 1820

Toute la vie d'un coeur - 1822 - Quinze-vingt

Toute la vie d'un coeur - 1826

Toute la vie d'un coeur - 1833 - A J...

Toute la vie d'un coeur - 1835 - Promenade

Trois ans après

Tu me vois bon charmant et doux ...

Tu rentreras comme Voltaire...

Ultima verba

Un grand sabre serait d'utilité publique

Un groupe tout à l'heure était là sur la grève...

Un hymne harmonieux sort des feuilles du tremble

Un jour au mont Atlas

Un jour je vis le sang couler de toutes parts

Un manque

Une bombe aux Feuillantines

Une femme m'a dit ceci : - J'ai pris la fuite

Une nuit qu'on entendait la mer sans la voir

Unité

Vénus

Veni, vidi, vixi

Vere novo

Vers 1820

Viens ! - une flûte invisible

Vision sombre ! un peuple en assassine un autre

Vivants

Voeu

Voici que la saison décline

Vois, cette branche est rude, elle est noire...

Voyons, d'où vient le verbe ? Et d'où viennent les langues ?