203 poèmes avec "lard" | Page 6





... je contemple, ému, les haillons d'un vieillard qui jette à poignées b... Voir le poème



... luire le toit d'une chaumière ; ou dispute aux brouillards les vagues horizons ;br... Voir le poème



... sont à quelqu'un qui n'est pas nous. mais les deux autres, tu ne les vois donc pas, vieillard ? oui, je les vois, t... Voir le poème



... les pairs étaient douzaine : il est sans parangon. son lard tremble à sa marche et l... Voir le poème



... et mon petit archer, qui mene à son costé la belle gaillardise et plaisir le volage ;... Voir le poème



... portait, comme on dit, les bouteilles : sa charge était de sel. nos gaillards pèlerins,par monts,... Voir le poème



... que vous êtes pressante, ô déesse cruelle ! - vieillard, lui dit la mort, je ne t... Voir le poème



... six forts chevaux tiraient un coche. femmes, moine, vieillards, tout était descendu.b... Voir le poème



... on l'avait réservé pour la bouche des dieux. gaillard corbeau disait, en le cou... Voir le poème



... patrocle mit l'alarme au camp et dans la ville : mères, brus et vieillards au temple couraient tous... Voir le poème



... dès qu'il la voit partie, il contrefait son ton, et d'une voix papelardeil demande qu'on ouvr... Voir le poème



... j'ai lu dans quelque endroit qu'un meunier et son fils, l'un vieillard, l'autre enfant, non pas ... Voir le poème



... dit avec un ton de rieur, le gaillard savetier, ce n'est point ... Voir le poème



... un vieillard sur son ane aperçut en p... Voir le poème



... je ne t'escry pour autrime raison si gaillardime en bonime saison,q... Voir le poème



... je plaingz (mon cher soucy) vostre age plus exquis, qui semblable aus feuillardz d'un arbre si requis,br... Voir le poème



... non ceste fleur qui m'a l'ame enflambée, mesme à l'envy du gaillard cyprien. elle est... Voir le poème



... tu sombrais, radieux comme un grand saint-ciboire, incendiant l'azur ! À présent, nous voyons un disque safrané, malade, sans rayons, qui meurt à l'horizon balayé de cinabre, tout seul, dans un décor poitrinaire et macabre, colorant faiblement les nuages la terre a fait son temps ; ses reins n'en peuvent plus. et ses pauvres enfants, grêles, chauves et blêmes d'avoir trop médité les éternels problèmes, grelottants et voûtés sous le poids des foulards au gaz jaune et mourant ... Voir le poème



... c'est le trottoir avec ses arbres rabougris. des mâles égrillards, des femelles enceintes,... Voir le poème



... drames mystérieux et dont j'étais l'acteur! puis, comme des brouillards après une tempête,... Voir le poème