52 poèmes avec "cites" | Page 1





... cites... Voir le poème



... où serez-vous demain, Èves octogénaires, sur qui pèse la griffe effroyable de dieu ?cites... Voir le poème



... quand l'air qui l'environne auprès d'elle a porté le doux nom des vertus et de la liberté.cites... Voir le poème



... que l'ingrate étonnée, en recevant ce don, ne t'ait vu de sa vie et demande ton nom.cites... Voir le poème



... ainsi que le tyran, l'esclave est un impie, rebelle à la divinité.cites... Voir le poème



... comme entre les cités, qui plus florissent ore, ce vieil honneur poudreux est le plus honoré.cites... Voir le poème



... d'un cadavre puant pour faire son cercueil ; j'ai vu de pharaon les pompeux exerciteset contre josué les f... Voir le poème



... vos fils, fussent-ils purs et beaux comme les anges, sont condamnés à mort !cites... Voir le poème



... quand s'efforcent dépriser par outrage un dieu, un roi, une foi, une loi.cites... Voir le poème



... je songe un livre de pitié pour les âmes simples et tristes.cites... Voir le poème



... sois petit comme source et sois grand comme fleuve.cites... Voir le poème



... une chose, ô jésus, en secret m'épouvante, c'est l'écho de ta voix qui va s'affaiblissant.cites... Voir le poème



... tourbe, foule, hommes faux, coeurs morts, races déchues, un arbre dans les bois qu'une âme en vos cohues !cites... Voir le poème



... des simplicités d'hirondelle qui ne sait que bâtir son nid.cites... Voir le poème



... elles montent toujours vers le ciel, et sans cesse redescendent des cieux aux mers.cites... Voir le poème



... tandis qu'elle va, vient, monte et descend encore, entend de marche en marche errer son pied sonore !cites... Voir le poème



... Ébloui, haletant, stupide, épouvanté, car il avait au fond trouvé l'éternité.cites... Voir le poème



... les grelots des mules sonores. cites... Voir le poème



... sous le doigt qui la fixe est si vite ternie, essaim doré qui n'a qu'un jour dans tous nos jours.cites... Voir le poème



... ouragans inconnus des débâcles finales, accourez ! déchaînez vos trombes de rafales l prenez ce globe immonde et poussif ! balayez sa lèpre de cités et ses fils ennuyés ! et jetez ses débris sans nom au noir immense ! et qu'on ne sache rien dans la grande innocence des soleils éternels, des étoiles d'amour, de ce cerveau pourri qui fut la terre, un jour.cites... Voir le poème