Poèmes de Jean Moreas (68)



Ô ciel aérien inondé de lumière

Ô ma lyre ...

Ô mer immense ...

Ô monts justement fiers ...

Adieu, la vapeur siffle, ...

Ariette

Au temps de ma jeunesse ...

Autrefois je tirais ...

Belle lune d'argent ...

Ce n'est pas vers l'azur ...

Chênes mystérieux, forêt de la Grésigne

Chanson

Choeur

Conte d'amour (IV)

Conte d'amour (VII)

Coupez le myrte blanc aux bocages d'Athènes

Dans le jardin taillé ...

De ce tardif avril ...

Eau printanière, pluie harmonieuse ...

Et j' irai le long de la mer éternelle

Hautes sierras aux gorges nues

Il est doux d'écouter ...

J'ai choisi cette rose ...

Je naquis au bord d'une mer...

Je ne regrette rien ...

Je songe à ce village ...

Je songe aux ciels marins ...

Je viens de mal parler de toi ...

Je vous revois toujours, immobiles cyprès

L'éclair illuminait la nuit ...

L'automne ou les satyres

L'eau qui jaillit ...

L'investiture

La feuille des forêts

La plainte d'Hyagnis

Le coq chante là-bas ; un faible jour tranquille

Le démoniaque

Le grain de blé nourrit ...

Le judicieux conseil

Les branches en arceaux ...

Les morts m'écoutent seuls ...

Les roses jaunes

Les roses que j'aimais ...

Lorsque sous la rafale ...

Mélancolique mer que je ne connais pas...

Me voici seul enfin ...

Ne dites pas : la vie est un joyeux festin ...

Nevermore

Nuages qu'un beau jour à présent environne

Oisillon bleu

Parmi des chênes, accoudée

Parmi les marronniers,...

Passe-temps

Quand je viendrai m'asseoir dans le vent ...

Quand pourrai-je, quittant tous les soins inutiles

Quand reviendra l'automne avec les feuilles mortes

Que l'on jette ces lis ...

Remembrances

Rompant soudain le deuil ...

Roses de Damas ...

Roses, en bracelet ...

Sensualité

Ses mains qu'elle tend ...

Soeur de Phébus charmante

Sur la nappe ouvragée où le festin s'exalte

Téthys qui m'as vu naître ...

Tantôt semblable à l'onde ...

Un troupeau ...